Les journaux, les sites internet, mais aussi les radios et les télévisions ont fait du piratage un métier. Une façon simple et peu onéreuse d’avoir du contenu
Aucun respect des droits d’auteur et des législation en vigueur. Textes, photos, vidéos, audios sont littéralement pillés.
Face à ce phénomène, la Haute Autorité de l'audiovisuel et de la communication (HAAC) tape du poing sur la table.
'Toute diffusion de programmes audiovisuels ou radiophoniques protégés est, d'une part passible de sanctions de la HAAC et constitue, d'autre part, un délit de contrefaçon, puni par le Code pénal d'une peine d’emprisonnement’, a rappelé lundi Pitalounani Telou, le président de la de l’institution.
La HAAC devrait également s’intéresser au cas des sites et de la presse écrite qui ne se comportent pas différemment.