Au siège d’Amnesty international, le Togo est dans le collimateur des experts de l’organisation de défense des droits humains. Ils pointent régulièrement du doigt les atteintes à la liberté de la presse ou les violences policières.
Aimé Adi, le directeur national Togo de l’ONG, est beaucoup plus nuancé.
‘Je ne pense pas qu'on puisse tirer à boulet rouge. Prenez l’exemple de la torture. Le nouveau code pénal l’assimile désormais à un crime. Quand les choses avancent, il faut le reconnaître’, a-t-il déclaré vendredi au micro de Victoire FM.
Il y a donc un décalage entre les rapports publiés par le siège d’Amnesty et la réalité sur le terrain.