Société

La rue n'est pas une fatalité

2000 jeunes sauvés

Pour l’ONG, Ange (Les Amis pour une nouvelle génération des enfants), le phénomène d’enfants des rues est insupportable. Ils seraient 600 dans le pays et 300 rien que pour Lomé. Mais sans doute beaucoup plus.

‘Le combat contre la présence des enfants dans la rue n’est pas de la seule responsabilité des pouvoirs publics. La situation s’empire’, a confié mercredi Yves Kokou Abassa, chargé de projet à l’association.

Abandonnés par les parents, orphelins, ils tentent de survivre en commettant des petits larcins ou en travaillant au jour le jour contre un salaire de misère.

Avec la crise sanitaire, le problème est devenu encore plus aigu. 

En 20 ans d’activité, l’ONG est parvenue à insérer plus de 2000 jeunes à la dérive. 70% de ceux qui sont assistés quittent définitivement la rue pour des études, puis un travail.

L’Etat fait sa part du job, mais la société civile doit s’impliquer davantage.

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