Il y a un mois, le pont d'Amakpapé à l'entrée de la ville de Notsè cédait sous la pression des eaux provoquée par les intempéries. Depuis, le trafic des voitures et des camions est très perturbé.
Les déviations mises en place sont insuffisantes pour juguler le trafic. Le gouvernement réfléchit et consulte des experts pour trouver une solution temporaire.Un ingénieur français, Jean-Luc Dumalanede, a été dépêché au Togo. Sa mission : explorer la possibilité de d'installer un pont provisoire au niveau d'Amakpapé pour permettre le mouvement des poids lourds sur ce tronçon.
Dimanche dernier, l'ingénieur français a été conduit sur le site par le ministre des Travaux publics accompagné par les chefs des services techniques et le directeur de l'Agence d'exécution des travaux urbains (AGETURE).
Jean-Luc Dumalanede envisage la construction d'un ouvrage provisoire, en aval du pont qui a cédé.
La structure pourra s'étendre sur trente à quarante mètres et sera construit en attendant que les travaux de construction du pont ne démarrent.
Le technicien français assure que la construction du pont provisoire peut être réalisée en dix jours à condition que les moyens techniques et financiers suivent.
Reste maintenant à ce que le projet reçoive l'agrément des autorités.
Le deuxième inventaire forestier débutera le 1er mars, a annoncé vendredi le ministère de l’Environnement.
L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) fournira des kits de production à 900 foyers agricoles vulnérables.
Quatre millions de Togolais sont concernés par cette couverture santé.
Avec des caniveaux utilisés comme dépotoirs, la fin des inondation n'est pas pour demain.
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