Société

Réinsertion des mineurs : une priorité

L'incarcération est la dernière option

400 mineurs en conflit avec la loi ont été accompagnés et ont ainsi pu rejoindre leur famille après leur détention.

C’est le résultat des actions menées par le Bureau national catholique de l’enfance (BNCE-Togo)

Le projet, soutenu par l’AFD (Agence française de développement) avait débuté il y a 4 ans et prendra fin cette année.

Pour Afangnon Messan Tsandja, le directeur exécutif du BNCE, aucun mineur ne devrait être détenu. Tout doit être mis en oeuvre pour favoriser la réinsertion. 

Mais une grosse part du travail revient aussi aux familles. Culturellement, elles acceptent difficilement une incarcération. Dès lors le mineur est stigmatisé et même souvent rejeté.

Ce qui ne facilite pas un retour à une vie normale à la sortie de prison.

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