Pas de pause de fin d’année pour le Comité de Concertation État–Secteur Privé (CCESP). Créé à la demande du président du Conseil, Faure Gnassingbé, cette structure vise à renforcer le dialogue entre l’État et le secteur privé.
Pas de pause de fin d’année pour le Comité de Concertation État–Secteur Privé (CCESP). Créé à la demande du président du Conseil, Faure Gnassingbé, cette structure vise à renforcer le dialogue entre l’État et le secteur privé.
Dans cette dynamique, le CCESP a tenu mardi une réunion avec les secrétaires généraux des ministères, qui assurent le rôle de points focaux du dialogue public-privé au sein de leurs départements.
À cette occasion, le secrétaire exécutif du CCESP, Moyeme Baniab, a présenté les enjeux, les missions et les orientations stratégiques du Comité, en insistant sur le rôle clé des points focaux dans la coordination et la mise en œuvre des recommandations issues des concertations.
Stéphane Kpowbie Akaya, secrétaire général du ministère des Finances et du Budget, a mis en avant l’importance du dialogue public-privé comme levier de cohérence de l’action gouvernementale.
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