Le secteur de la pêche demeure fragile. Les ressources sont de plus en plus limitées et l’activité illégale de chalutiers étrangers fait le reste.
Des navires-usine pillent ce qu’il reste de poissons.
Le Togo arrive tout de même à pêcher 25.000 tonnes. Une activité qui emploie plus de 22.000 personnes.
Un port de pêche, financé par le Japon, permet d’organiser et de rationaliser l’activité.
‘Malgré nos efforts, la pêche illégale se poursuit dans les eaux territoriales togolaises’, a déploré Domtani Ali, le directeur des Pêches et de l’Aquaculture.
Alors que faire ?
La Marine est la mieux placée pour lutter contre ce fléau, mais elle est déjà mobilisée dans la lutte contre les pirates, les trafics et le combat contre le terrorisme.
Le pays a besoin du soutien des partenaires internationaux pour renforcer son dispositif avec la création de brigades dédiées.