On ne libère pas n’importe qui !
364 prisonniers en fin de peine ont bénéficié d’une grâce présidentielle fin octobre.
364 prisonniers en fin de peine ont bénéficié d’une grâce présidentielle fin octobre.
Leur sortie par anticipation inquiète la population confrontée à une montée de la délinquance.
Certains n’hésitent pas à affirmer que ces libérations contribuent à l’augmentation des agressions et des cambriolages.
Aucun lien, assure le ministre de la Justice, Puis Kokouvi Agbetomey.
'Ces craintes ne sont pas fondées. Les personnes bénéficiant d’une grâce ne sont pas des criminels. Ils ne présentent aucun danger. Ils se sont rendus coupables de petites infractions ou d’exroquerie’, a-t-il expliqué mardi.
Et le Garde des Sceaux de préciser qu’il existe des critères objectifs pour accorder des grâces.