
L’ancien ministre de la Justice, Abi Tchessa, estime que la question des conflits fonciers est loin d’être réglé.
L’ancien ministre de la Justice, Abi Tchessa, estime que la question des conflits fonciers est loin d’être réglé.
Dans les années 70, l’État n’a pas mis en place les mécanismes nécessaires pour encadrer efficacement l’urbanisation et le développement foncier. Cette absence de rigueur et de vision stratégique a créé un retard considérable dont les conséquences se font encore sentir aujourd’hui, malgré les réformes engagées ces dernières années, estime M. Tchessa.
S’il reconnaît les efforts en cours, il estime qu’il est essentiel de soutenir davantage les magistrats et greffiers, souvent confrontés à une lourde charge de travail et à de nombreuses critiques.
« Il faut que le pays s’occupe de sa justice en apportant le soutien matériel et politique aux magistrats », a-t-il insisté, plaidant pour un renforcement du personnel judiciaire dans les tribunaux.
Le président du Pacte socialiste pour le renouveau (PSR, opposition) demande aussi l’instauration d’un dialogue constant entre les autorités compétentes et les acteurs de la justice, condition indispensable, selon lui, pour sortir durablement de la crise foncière.
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