
Depuis la démission de la Première ministre Victoire Tomégah-Dogbé, le 2 mai dernier, les populations restent dans l’attente de la formation d’un nouveau gouvernement. Plus de trois mois après, le suspense alimente non seulement les débats politiques mais aussi les rumeurs autour des coulisses de la préparation de la future équipe exécutive.
Depuis la démission de la Première ministre Victoire Tomégah-Dogbé, le 2 mai dernier, les populations restent dans l’attente de la formation d’un nouveau gouvernement. Plus de trois mois après, le suspense alimente non seulement les débats politiques mais aussi les rumeurs autour des coulisses de la préparation de la future équipe exécutive.
L’absence d’annonce officielle sur la composition du prochain gouvernement suscite de nombreuses spéculations, dans les milieux politiques comme dans l’opinion publique. Les regards sont tournés vers le président du Conseil, Faure Gnassingbé, seul habilité à nommer les ministres conformément à la Constitution.
Dans ce climat d’attente, certains acteurs politiques se livreraient à des démarches peu orthodoxes pour maximiser leurs chances. Selon l’hebdomadaire Waraa paru jeudi, cette période est particulièrement propice à des pratiques mystiques visant à obtenir un poste gouvernemental ou à préserver le sien.
Ces pratiques, bien qu’informelles et difficiles à vérifier, font partie des récits qui entourent régulièrement les périodes de recomposition politique au Togo. Elles traduisent l’intensité des enjeux liés à l’entrée dans l’exécutif, perçue comme un accès privilégié au pouvoir et aux leviers de décision.
Waraa N°528.pdf
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