
Les pays les plus pauvres devraient être les plus durement touchés par les changements climatiques extrêmes tels que les sécheresses, les inondations et les cyclones, indique L’Economiste paru vendredi.
Et les pays africains sont parmi les plus vulnérables à ces impacts sur la sécurité alimentaire, la santé, les économies et les écosystèmes.
Ces questions essentielles seront débattues lors de la COP26 à Glasgow à partir du 31 octobre.
L'Economiste N°407.pdf
TéléchargerPour que ce site Web fonctionne correctement et pour améliorer votre expérience d'utilisateur, nous utilisons des cookies. Retrouvez plus d'informations dans notre Gestion des cookies.
Les cookies nécessaires activent les fonctionnalités de base. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies et ne peut être désactivé qu'en modifiant les préférences de votre navigateur.