Profitant du contexte électoral, la Synergie des travailleurs du Togo (STT), une Centrale créée récemment, met le pression sur le gouvernement pour obtenir satisfaction sur des revendications salariales.
Elle multiplie les grèves en dépit des propositions faites par les autorités. Et Echos du Pays, paru jeudi, se fait l’écho de rumeurs selon lesquelles tout fonctionnaire ayant observé le mouvement de grève illégal serait licencié. Jamais il n’a été question de licenciements. En revanche, les grévistes ne seront pas payés, ce qui est normal.
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Echos du Pays N°214.pdf
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