
Le coup d’État militaire au Mali a plongé le pays dans une crise sécuritaire plus profonde, alors même que la junte réprime la dissidence et résiste à une transition démocratique.
Le coup d’État militaire au Mali a plongé le pays dans une crise sécuritaire plus profonde, alors même que la junte réprime la dissidence et résiste à une transition démocratique, estime le Centre d’études stratégiques de l’Afrique basé à Washington.
La junte militaire malienne a justifié sa prise de pouvoir en affirmant qu’elle était la seule à pouvoir assurer la sécurité, renforcer la justice et ramener le pays à la démocratie.
Mais le bilan de la junte montre qu’elle fait reculer le Mali sur chacun de ces objectifs et qu’elle le dirige vers un régime militaire bien établi.
Depuis sa prise de pouvoir en août 2020, la violence s’est étendue et intensifiée à travers le Mali. Il est révélateur que la violence extrémiste ait été plus élevée au cours de chaque trimestre depuis la prise de pouvoir de la junte qu’au cours de tous les trimestres précédant le coup d’État, souligne l’étude.
La Cédéao a imposé de lourdes sanctions contre Bamako.
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