Voix de cristal, arrangements groovy : dès les premières notes, Maë Defays a affirmé vendredi soir sur la scène de l’Institut français de Lomé un style jazz-soul à l’équilibre parfois teinté d’accents pop.
Auteur-compositeur-interprète avec des chansons en anglais, français et créole, Maë privilégie l’évolution et les nuances dans ses morceaux pour que chaque chanson soit une histoire à elle seule.
Maë creuse son sillon sur la scène jazz avec déjà des dizaines de concerts à Paris, une tournée en Guyane et un récital à Copenhague, la nouvelle capitale européenne du jazz.
A son répertoire jazz et neo-soul parfois teinté d'accents pop, Maë ajoute des morceaux de bossa-nova et des compositions influencées par le funk, la « black music » (Stevie Wonder), le hiphop (José James), l'afrobeat.
Dans ce « cross-over » très contemporain, les ballades alternent avec les morceaux « up-tempo ». Et l’artiste distille à point nommé des improvisations vocales tandis que ses musiciens, à leur tour, multiplient les solos de piano, de batterie, de guitare.
Prochain concert, le 5 février au célèbre New Morning à Paris.