Le 5e recensement général de la population devrait débuter au second semestre.
Tous les 5 ans, le pays a besoin d’effectuer ce travail pour orienter ses politiques de développement.
L'opération est pilotée par l'Institut national de la statistique et des études économiques et démographiques (INSEED).
Grâce à l’utilisation des nouvelles technologies, la collecte et le
Tablettes et smartphones seront fournis au personnel chargé d’aller sur le terrain.
Les travaux de cartographie censitaire ont été lancés jeudi. Elle permettra le découpage du pays dans le but de mettre en place une répartition équitable de la charge de travail aux agents recenseurs.
300 cartographes ont été formés pour assurer la mission de juillet à fin décembre.
Ils seront chargés d’effectuer un découpage du pays en unités dénommées zones de dénombrement permettant une identification exhaustive de la population et des infrastructures socioéconomique.
Dans ce cadre, le gouvernement à mis à disposition de l’INSEED des équipements informatiques, des véhicules et des motos.
L’Etat bénéficie du soutien de la Banque mondiale, de la GIZ, du PNUD et de l’UNICEF, notamment.