Diplomatie

Le Togo frappe à la porte du Commonwealth

Patricia Scotland, secrétaire générale du Commonwealth

Une mission d'évaluation du Commonwealth se trouve à Lomé. Le Togo espère un jour adhérer à cet ensemble qui regroupe 53 anciennes colonies britanniques, plus un nouveau venu, le Rwanda, ancien Etat francophone.

Avant un éventuel feu vert des membres, les responsables du Commonwealth veulent s’assurer que le Togo respecte un certain nombre de critères : démocratie, Etat de droit, liberté de la presse, climat des affaires … 

Le candidat doit afficher toutes les vertus de respectabilité.

Les évaluateurs sont à Lomé dans le cadre de cette mission.

Il est prévu des rencontres avec les dirigeants des principaux partis politiques de la majorité et de l’opposition.

Certains font la gueule car exclus des consultations.

C’est le cas de la ‘Dynamique Mgr Kpodzro’, une association de plusieurs formations d’opposition.

‘La DMK s'étonne de ce que ni le regroupement, ni aucun parti ou association membre de ce dernier n'ait à ce jour été invité à rencontrer la mission’, a déclaré mercredi Brigitte Adjamagbo-Johnson, coordonnatrice de la DMK.

Les représentants du Commonwealth se sont entretenus avec le Premier ministre et avec plusieurs membres du gouvernement (Santé, Droits de l’homme, Justice, Affaires étrangères, Inclusion financière).

L’adhésion n’est pas acquise d’avance.

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