Komlan Dozi Kokoroko, le ministre de l’Enseignement, a fait une étonnante découverte en enquêtant.
Lors de la grève mi-novembre organisée à l’appel de la Fédération des syndicats de l’éducation nations (FESEN), des chefs d’établissement ont incité les enseignants non-grévistes à cesser le travail, en renvoyant les élèves chez eux ou en fermant purement et simplement les écoles, collèges ou lycées
‘Celles ou ceux qui se rendraient coupables de tels comportements s'exposent à des sanctions disciplinaires en dehors des poursuites judiciaires", a déclaré le ministre jeudi.
Les pressions exercées ne sont pas acceptables.
Le droit est grève est sacré, mais le libre choix l’est encore davantage.