Environnement

Changements climatiques : l’Afrique ploie sous les difficultés

Les  travaux de la 18e conférence des Nations Unies sur le climat, se sont poursuivent à Doha (Qatar) avec la partie dite de haut niveau. Une réunion s’est a débuté dimanche, organisée par la Conférence des ministres africains de l’Environnement (CMAE). 

Elle se déroule en prélude aux négociations entre les chefs d’Etat, et de gouvernement qui auront lieu du 4 au 7 décembre.

Elle a pour objectif de permettre aux ministres africains de se prononcer sur les résultats obtenus par les négociateurs africains afin de dégager une position commune concernant la déclaration d’Arusha qui détaille les préoccupations de l’Afrique en matière de protection de l’environnement.

Au cours des débats, Dédé Ahoéfa Ekoué, la ministre de l’Environnement du Togo, a pris la parole pour relever que l’Afrique ploie déjà sous le poids des conséquences des changements climatiques avec, entre autres, la sécheresse et les inondations qui deviennent récurrentes. Elle a indiqué que les inondations, qui frappent annuellement au Togo depuis 2007 et leurs conséquences, ainsi que l’érosion côtière constituent un poids pour l’économie nationale.

Mme Ekoué a émis le vœu que les pays africains puissent consacrer davantage de ressources à la résolution des questions liées aux changements climatiques.

La ministre est à la tête d’une importante délégation comprenant des experts, des députés et des représentants du secteur privé, de la société civile et d’ONG.

En photo : des véhicules 100% électriques exposés pendant le sommet de Doha

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