Le mandat des membres conseil supérieur de la magistrature (CSM) s’est achevé en août 2019.
Certains dénoncent cette situation qu’ils jugent illégale.
Ce n’est pas l’avis de Justine Mawulawoè Azanlédji, membre du CSM et présidente de l’association nationale des magistrats.
Les membres restent en fonction jusqu’à la mise en place d'une nouvelle mandature, explique-t-elle.
C’est une obligation encadrée par les textes.
Les missions du CSM sont nombreuses : gestion de la carrière des magistrats, avis concernant les demandes de grâces présidentielles ou d’amnistie.