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Pas de menace de méningite au Togo

L'hebdo privé l'Union, paru vendredi, se veut rassurant. Le Togo n'est pas menacé par l'épidémie de méningite. . «Fort heureusement, nous sommes presque à la fin de l'harmattan. Dès que la première plus tombe, le méningocoque est à terre, et ne se soulève pas pour aller des les muqueuses nasales des gens», explique Charles Kondi Agba dans le journal. Au sommaire également, un article qui revient sur la mise en garde délivrée au ministre des Sports à propos de ses relations avec la Fédération togolaise de football concernant l'exclusion de joueurs de l'équipe nationale.

POLITIQUERèglement des contentieux électoraux : La recomposition de la Cour constitutionnelle désormais élucidée

Devenue la pierre angulaire de toutes les revendications de l'opposition et acceptée par la majorité présidentielle à travers l'Accord Politique Global (APG), la recomposition de la Cour constitutionnelle prend résolument forme. Elle s'est traduite dans les dernières révélations du président Faure Gnassingbé à Ouaga. «On pourra procéder au renouvellement des membres de la cour constitutionnelle dès que la session de l'Assemblée nationale va reprendre ses activités», a laissé entendre Faure, la semaine dernière, au cours de sa visite à Ouaga. A un moment où tout le monde s'inquiète de la méthode que doit revêtir cette recomposition quand il se souvient que, aux termes de l'APG et au regard des propositions de révision constitutionnelle notamment le régime politique, la nomination et les prérogatives du Premier Ministre, les conditions d'éligibilité du Président de la République, la durée et la limitation du mandat présidentiel, l'institution d'un Sénat, la réforme de la Cour Constitutionnelle, «le Gouvernement prendra en charge ces propositions pour la prochaine législature».

A y voir de près, c'est plus les politiques qui ont manqué de précision en parlant uniquement des «organes compétents». Alors même que, la loi fondamentale non abrogée a, dans son article 100, distingué l'Assemblée nationale du Sénat.

Le journal L'Union a voulu en savoir davantage, après les déclarations de Faure Gnassingbé, dans un entretien avec le haut perché de la législature nationale. «Oui, il n'y a pas encore le Sénat, donc l'Assemblée nationale joue le rôle de Sénat aussi ; c'est-à-dire que c'est l'Assemblée nationale qui, en ce moment, est notre Parlement. Or, quand on parle de Parlement, on parle de Sénat et de l'Assemblée nationale. Au moment où nous n'avons pas cette chambre (on n'a qu'une seule chambre), c'est l'Assemblée nationale qui joue ce rôle dans notre pays. Provisoirement», précise M. Abass Bonfoh qui dit n'attendre que ce projet de loi du gouvernement.

Se sent-on obligé de procéder au renouvellement par considération des hommes qui composent la Cour ? Le président de l'Assemblée nationale poursuit : «la Cour est contestée parce qu'elle n'est plus en nombre. Il y a eu un décès ; il n'a pas été remplacé, il ne peut pas être remplacé comme ça. La Cour doit être recomposée ; on doit le faire parce qu'il y aura des contestations, des contentieux, des petits problèmes. Ça, c'est sûr car tous les partis veulent aller aux élections législatives». «Lorsqu'on va faire des élections et que cette Cour constitutionnelle ne va pas être mise en place, qui va statuer ?», s'interroge-t-il.

C'est donc une clarification non ambiguë qui a le mérite de satisfaire tous les concurrents aux prochaines législatives anticipées. En clair, la nouvelle Cour constitutionnelle sera en nombre. L'actuel Parlement élira six membres (trois au nom de l'Assemblée nationale, trois au nom du Sénat) et le président de la République désignera trois personnalités conformément «aux critères de professionnalisme, de crédibilité et d'indépendance».

En rappel, le contentieux des candidatures à la députation, ainsi que les contestations concernant les opérations de vote et la conformité des résultats proclamés par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) relèvent de la compétence de la Cour Constitutionnelle. Par contre, en cas de contestation des inscriptions sur les listes électorales et de distribution des cartes d'électeurs, la plainte est soumise à la Commission Electorale Locale Indépendante (CELI); la partie non satisfaite de la décision de la CELI peut introduire un recours devant la CENI. Les décisions de la CENI sont déférées devant le Tribunal de Première Instance territorialement compétent ; le tribunal siège à cet effet dans une composition présidée par un magistrat autre que celui chargé de la présidence de la CELI. Il statue en dernier ressort. La sous-commission de la CENI chargée du contentieux électoral est désormais supprimée.

Toujours sollicitée dans la mise en place de la Cour constitutionnelle, de la HAAC, de la CNDH,… l'Assemblée nationale ouvre sa prochaine session ordinaire le 3 avril 2007. Avec déjà plus d'une trentaine de projets de loi à parcourir.

Législatives du 24 juin 2007 : La seconde vague des kits déjà à Lomé

Annoncée pour hier jeudi dans l'après-midi, la seconde cargaison des kits de d'enregistrement des électeurs en provenance de la RD Congo sera finalement déchargée ce vendredi matin, selon des sources de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). La cause est due à son arrivée tardive, le lieu d'entrepôt étant très éloigné de l'aéroport de Kinshasa. Sur les 3.000 kits à emprunter des Congolais, seulement 880 sont arrivés mardi soir (20h locales), avant d'être déchargés le lendemain. Ce retard de déchargement -et l'élasticité dans le programme des pilotes- seraient à la base de ce report.

Il était au départ prévu que les cargaisons de kits arrivent en trois temps, mardi, jeudi et samedi. "…dès que nous aurons réceptionné les trois mille kits, nous allons procéder à leur reconditionnement pour les adapter à la situation togolaise c'est-à-dire y installer les logiciels qui sont propres au Togo", avait précisé mardi à la presse Tozim Potopéré, président de la Ceni.

L'emprunt des kits est rendu effectif a près un protocole d'accord signé le mardi dernier entre la RD Congo et le Togo. Le document a été signé à Kinshasa par le ministre d'Etat congolais en charge des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Antipas Mbusa Nyamwisi et le ministre togolais de la Coopération et du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD), Gilbert Bawara.

Le Togo, pour sa part, accepte de pourvoir à leur entretien et à leur utilisation dans le cadre des objectifs pour lesquels il les reçoit, en prenant l'engagement de les garder en bon état et de les restituer, après usage, dans des conditions certifiées bonnes par la Société ZETES connue de toutes les parties.

Ce prêt est fait sans frais sauf en cas de manquement. La Commission électorale indépendante (CEI) de la RD Congo fournira également un personnel technique d'encadrement entre la CEI et la CENI.

SANTE

Epidémie de méningite : Le Togo n'est pas menacé

Avec près du millier de victimes en Afrique de l'ouest, principalement au Burkina Faso, ces trois derniers mois, on a très tôt cru, sans doute à raison, que l'épidémie de méningite qui sévit chez nos voisins menaçait le Togo. Il n'en est rien, assure le ministre de la Santé, rencontré jeudi par votre journal L'Union.

A la date du 11 mars cette année, 7.333 cas suspects de méningite ont été dénombrés au Burkina Faso par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), dont 583 décès, soit un taux de mortalité de 8%. L'épidémie touche, d'une manière plus large, huit pays d'Afrique de l'ouest dont le Togo et a fait plus de 800 morts depuis le début de l'année, selon le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) d'Afrique de l'ouest, basé à Dakar. Le Burkina Faso est de loin le pays le plus touché.

«La fluidité des frontières et les migrations saisonnières traditionnelles qui caractérisent le Sahel à partir de mai-juin pourraient rapidement propager la maladie dans les semaines à venir», s'est inquiété dans le communiqué le directeur d'OCHA pour l'Afrique de l'ouest, Hervé Ludovic de Lys. L'organe fait appel à «un appui urgent» dans les plus bref délais afin de contenir l'épidémie.

Outre le Burkina, l'épidémie de la méningite se manifeste autour de nous à des degrés divers, notamment en Côte d'Ivoire, au Niger, au Bénin, au Mali, au Ghana, au Nigeria et au Tchad. Mais, contrairement à ce que l'on peut craindre pour le Togo, il est loin d'être menacé, selon les propos du ministre de la Santé, le prof Charles Kondi Agba, interrogé hier par L'Union. «Le Togo n'est pas menacé. C'est une maladie dont on connaît la cyclicité, c'est une maladie contre laquelle on prend des mesures conservatoires», assure le ministre, indiquant que cette année, le Togo s'est doté de son «stock de guerre», entre 30.000 à 50.000 doses de vaccins de chloramphénicol huileux, le vaccin contre les méningocoques (les germes).

Il faut tout de même rappeler qu'en début de mars, des cas ont été signalés à Mandouri, extrême nord du pays, mais vite éradiqués par la vaccination. «Depuis le début de l'année, si on a compté 100 cas, il y a eu entre 6 et 10 décès», reconnaît le ministre de la Santé, parlant du Togo, tout en expliquant que «lorsque la fièvre se déclare et que le malade ne se déclare pas, il est difficile d'appliquer le chloramphénicol huileux». «Cette année, Dieu nous a bénis», a tenu à préciser le ministre Agba. La dernière fois que le Togo a connu une épidémie à grande échelle, descendue du Burkina, c'était en 1997, où de larges pans de la population ont été vaccinés.

Pendant que l'OCHA pense encore mobiliser de ressources pour faire face à l'épidémie dans la sous région, on est tenté de croire que c'est bientôt la fin de la menace de l'épidémie chez nous. Cela se justifie, selon Charles Kondi Agba, par la fin de l'harmattan et l'arrivée prochaine de la pluie. «Fort heureusement, nous sommes presque à la fin de l'harmattan. Dès que la première plus tombe, le méningocoque est à terre, et ne se soulève pas pour aller des les muqueuses nasales des gens», a déclaré Charles Kondi Agba. «Cette semaine, il a plu abondamment sur une bonne partie du nord et on espère que les cas vont s'estomper et, bientôt, s'épuiser», a-t-il précisé.

La méningite ou «la fièvre de l'harmattan» est une maladie cyclique et sa période de manifestation est bien connue. Elle est beaucoup plus présente dans les pays du Sahel (Sénégal, Mali, Burkina, Niger…) et dans la région septentrionale du Togo (Dapaong, Mango) jusqu'à la hauteur de Kara. Dès qu'on descend plus bas, elle est moins. A Lomé, c'est rare qu'on ait la méningite, à moins qu'on soit revenu d'un voyage d'un pays su Sahel.

SOCIETE :

Engagement des producteurs, la filière cotonnière bientôt relancée

La filière cotonnière au Togo traverse une crise grave. Tout le monde en est conscient. Des gouvernants aux exportateurs en passant par les intermédiaires jusqu'aux producteurs, chacun essaie de trouver à son niveau la solution idoine. Le gouvernement s'émeut pour trouver «le nerf de la guerre», les producteurs s'engagent à relancer la filière.

C'était le jeudi 16 mars dernier que les producteurs, regroupés au sein de la Fédération Nationale des Groupements de Producteurs de Coton (FNGPC), ont pris la ferme résolution de relancer la production cotonnière. Ils étaient en leur première assemblée générale à Atakpamé. Cette réunion a vu la participation des délégués des Unions Régionales des Producteurs du Coton. Il s'était agi pour nos cotonculteurs de jauger l'ensemble des actions menées au cours de la première année d'existence de leur fédé. Ceci étant, ils ont également fait des projections sur l'année en cours en mettant l'accent sur la redynamisation de la corporation.

Au cours de l'assise, les délégués ont statué longuement sur les problèmes inhérents à leur secteur d'activités et surtout la longue crise financière que traverse la filière au Togo. L'on doit se rappeler que c'est la dette colossale de 21 milliards de francs Cfa de la Société Togolaise de Coton (Sotoco) envers les cotonculteurs qui a engendré le découragement et le repli vers la culture des produits vivriers et autres. Cette situation s'est accentuée par la faiblesse du coût de l'or blanc sur le marché mondial. Surtout que certaines grandes puissances subventionnent conséquemment leur contonculture.  

Loin de céder au défaitisme, les délégués veulent se mobiliser. Impérativement. Ils se sont résolus à mener une campagne de porte à porte vers l'ensemble des producteurs sur toute l'étendue nationale en vue de les motiver à reprendre la production. Aussi se chargeront-ils d'achever le payement des arriérés. Cela fait suite aux efforts à l'amélioration de leurs conditions de vie et de travail engagés par les autorités qui, depuis la fin de l'année dernière, mobilisent des moyens financiers et matériels et des appuis techniques à cette fin.  

Le clou de la rencontre reste l'engagement des cotonculteurs togolais à relancer, malgré les difficultés, la production. Le Directeur général de la Sotoco a apprécié à sa juste valeur cette bravoure et a promis que tous les efforts seront déployés du côté de sa structure et des gouvernants pour éponger les impayés de 9 milliards de francs.

Pétrole & Gaz

Des indices de présence d'hydrocarbures dans les eaux territoriales

Par ces temps de délestage aigu, toute action pouvant apporter une solution à tout terme devra être envisagée. C'est donc à raison que le conseil des ministres du mercredi a consacré une bonne partie de la réunion à la recherche de l'or noir au large de nos côtes. Le ministre des Mines a informé ses collègues de ce que l'exploration pétrolière dans les eaux territoriales a permis de «localiser des structures favorables pouvant piéger des hydrocarbures liquides ou gazeux». Mais il a ajouté que la densité des six  forages effectués à ce jour est trop faible pour se prononcer sans faille sur la présence du pétrole bien qu'un des forages ait révélé des indices de présence.

Le gouvernement veut encourager l'intensification des recherches qui sont très coûteuses en incitant les grandes compagnies pétrolières à s'intéresser à nos plateformes. Le conseil des ministres a donc adopté trois décrets relatifs à cette mobilisation. Le premier concerne le découpage de l'offshore togolais en deux blocs selon que la profondeur d'eau varie entre 0 et 500 m ou delà de 500 m. Le deuxième décret approuve le contrat d'exploration et d'exploitation entre le Togo et le société pétrolière nigériane Oranto Petroleum International Ltd. Alors que le troisième porte attribution à la cette même société d'un permis de recherche et d'exploitation d'hydrocarbures.

Rappelons que cette compagnie, filiale du groupe Oranto Atlas Petroleum International Ltd du Prince Arthur Eze, a signé, en février dernier, avec les autorités togolaises un contrat d'exploration et d'exploitation de pétrole offshore. Selon les termes de l'accord d'une durée de deux ans et renouvelable une fois, Oranto Petroleum s'est engagé à effectuer son premier forage d'ici janvier 2009. Le Ministre des Mines et de l'Energie a exprimé son espoir de  voir découvrir des gisements de pétrole économiquement exploitables. Un espoir qui est, selon lui, d'autant plus justifié que le pétrole a été trouvé au Nigeria voisin qui fait partie du même bassin ouest africain que le Togo. En outre,  Oranto Petroleum est une compagnie spécialisée dans le développement de gisements offshore. L'atout de cette société  réside dans le fait qu'elle connaît bien la région puisqu'elle travaille actuellement sur 10 blocs au Nigeria, en Guinée Equatoriale et en Côte d'Ivoire avec une production de 10 000 barils /jour.

Toutefois, les précédentes sociétés pétrolières ayant signé des contrats d'exploration avec le Togo n'ont jamais  trouvé de gisements exploitables. C'est notamment le cas de la société américaine Hunt Oil Company, associée en 2002 avec la compagnie malaisienne Petronas, qui avait obtenu en juillet de la même année un accord d'exclusivité avec le Togo pour le premier champ en eaux profondes sur un périmètre défini en 15 blocs correspondant à 4067 km. Il en est de même pour la compagnie norvégienne Petroleum Geo-Services, qui avait réalisé, entre 1997 et 1999, des études géotechniques qu'elle vend aux sociétés exportatrices.

Les investissements d'exploration et de recherche sont lourds, plus de 10 milliards de francs Cfa pour réaliser un forage. Et il en faut beaucoup pour que le Togo caresse le rêve de rejoindre le cercle très fermé et envié des producteurs de pétrole.

SPORT

Football/ Après l'exclusion de Shéyi, Daré et Kader de la sélection nationale

Les membres du gouvernement ont demandé au ministre de la Jeunesse et des Sports, Richard Attipoé,  de ne pas "interférer dans les compétences de la Fédération togolaise de football quant à l'application de ses textes". C'était lors du Conseil hebdomadaire des ministres tenu le mercredi 28 mars.

Le samedi 24 mars, à l'issue de la rencontre Togo - Sierra Leone, gagnée par les Eperviers du Togo 3-1 et comptant pour la 3e journée des éliminatoires Can 2008, le bureau exécutif de la Fédération togolaise de football a exclu "jusqu'à nouvel ordre" trois cadres de l'équipe nationale, notamment le capitaine Adébayor Shéyi, Daré Nibombé et Kader Coubadja pour indiscipline. Une décision que le ministre Richard Attipoé  a fustigé estimant qu'ayant été sollicité par la Fédération pour assurer la médiation, il aurait pu être informé avant la prise de telles sanctions, avant d'ajouter que cette décision est arbitraire. "Cette décision est juridiquement nulle et de nul effet", a-t-il déclaré lors de la conférence de presse qu'il a organisée à propos de la question mardi.

Reconnaissant tout de même que la Ftf est en droit de prendre des sanctions, Attipoé a déclaré souhaiter des sanctions qui respectent les textes qui régissent les activités de la Ftf. Or, l'exclusion n'est pas prévue par les textes.

Les trois joueurs délégués par  leurs coéquipiers ont participé aux discussions  au sujet du reliquat des primes du Mondial 2006 en  Allemagne. Ils réclamaient le versement d'un reliquat de 30 millions de francs CFA sur les primes de la Coupe du monde, rappelant que chaque joueur avait, suite aux négociations menées par la FIFA, reçu 50 millions CFA (101.337 dollars) sur les 80 millions (162.140 dollars) réclamés.

Les discussions, engagées le vendredi 23 mars, ont permis au ministre des Sports d'obtenir des joueurs la promesse de jouer sans conditions et de poursuivre après les négociations.

" C'est grâce à cette médiation qu'ils ont accepté de jouer contre la Sierra Leone ", a rappelé Attipoé.

Au sommet de l'Etat togolais, on indique que la recommandation faite au ministre de la Jeunesse et des Sports répond à un souci de non ingérence des autorités politiques dans les affaires des fédérations sportives, notamment celle de football. La Fifa étant assez regardante sur ces genres de questions, il n'est pas question que le Togo soit de nouveau mis au ban de l'institution de Sepp Blatter. "Nous souhaiterions que les joueurs incriminés passent par les voies légales que leur accordent les textes qui régissent la Fédération pour contester la légalité des sanctions qui leur sont infligées", nous a indiqué une source gouvernementale.

© L'Union du 31 mars 2007

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