Politique

Un dilemme pour l’opposition

Alors qu’a débuté lundi le processus de dépôt des candidatures pour les législatives prévues théoriquement en juillet, les partis de l’opposition s’interrogent sur la conduite à tenir. Faut-il y aller, faut-il boycotter le scrutin ? Choix cornélien.

‘Il n’y aura pas d’élections tant qu’il n’y aura pas un dialogue sincère pour régler un certain nombre de questions liées à la préparation de ces élections’, continue d’affirmer Zeus Ajavon, l’un des responsables du collectif ‘Sauvons le Togo’, un rassemblement hétéroclite d’opposants. Mais ce n’est pas le CST qui est en charge des élections ; il n’a donc aucun pouvoir de décider si oui ou non les législatives se tiendront.

Même son de cloche du côté de l’ANC qui parle d’un « processus bâclé » sans toutefois fermer la porte à sa participation.

La position est plus claire au Comité d’Action pour le Renouveau. Pas question de boycotter le scrutin même si cette formation dénonce en l’ arrestation d’opposants. En réalité deux individus inculpés dans le cadre de l’enquête sur les incendies criminels des marchés de Kara et de Lomé et qui n’ont pas respecté les conditions de leur maintien en liberté provisoire.

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