Société

Etre portefaix n’est pas déshonorant

Ewomkpo Kossivi Kpéto

La confédération syndicale des travailleurs du Togo (CSTT) souhaite aider les portefaix. Un métier pénible très peu rémunérateur, mais qui permettent à de nombreux déshérités de survivre.

Pour Ewomkpo Kossivi Kpéto, secrétaire général du syndicat national des chargeurs et déchargeurs des marchés du Togo (SYNACDEM), portefaix n’est pas un sot métier. Mieux, il a de l’avenir et pourrait s’avérer être rémunérateur.

‘Le vrai problème lié à notre précarité c’est celui du changement de mentalité. Nous devons tirer tout le potentiel de cette activité, même s’il est épuisante’.

Emmanuel Komlan Agbénoun, secrétaire général de la CSTT, a indiqué que des dispositifs étaient à l’étude pour soutenir la profession, la former, expliquer les droits et devoirs et envisager une protection sociale.

Mais on en est pas encore là.

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