Société

Les Togolais sont réfractaires au contrôle technique

La vie des automobilistes et des autres usagers est en jeu

Pour les motos, comme pour les voitures, les bus et les camions, la visite technique est obligatoire. La cause de nombreux accidents, souvent mortels, est lié au mauvais état des véhicules, faute d’entretien.

Pour la direction de la sécurité routière (DSR), ces contrôles sont indispensables pour s’assurer que tous ces engins sont aptes à circuler.

Cette visite annuelle obligatoire – tous les 6 mois pour les véhicules commerciaux – est encore peu respectée, en dépit des campagnes d’information menée très régulièrement par la DSR et la Prévention routière.

Ce contrôle doit être fait par un organisme agréé, aux frais du propriétaire du véhicule. Le contrôleur vérifie différents points de contrôle. Les défaillances constatées sont classées par niveau de gravité (mineure, majeure, critique). Si le résultat du contrôle est défavorable, une contre-visite est à effectuer dans les 2 mois.

Le parc automobile togolais est vieillissant. La plupart des voitures et des camions en circulation ont eu une première vie en Europe avant de débarquer dans les ports africains. Elles sont âgées de 10 ans au minimum, parfois beaucoup plus.

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