La Fédération nationale des unions des coopératives des pêcheurs du Togo a décidé de frapper. La pêche illégale pourra coûter cher à tous ceux qui seraient tentés de contourner la loi.
La Fédération vise les artisans qui utilisent des filets non conventionnels, tels que les filets nylon, moustiquaires ou mono-filaments.
Ils risquent jusqu’à 5 millions de Fcfa d’amende et la confiscation de leur embarcation.
‘Nous allons mettre en place un dispositif d’auto surveillance’, a indiqué vendredi Abdou-Derman Adam-Mouhamadou, secrétaire général.
Les ressources halieutiques sont déjà faibles au large du Togo. Les pêcheurs n’ont pas besoin de brebis galeuses qui viennent compromettre leur activité.