Société

Que faisait BarakaCity au Togo ?

Des membres de BarakaCity en 2013 au Togo

En France, un professeur d’histoire et de géographie a été décapité au couteau de cuisine par un jeune Tchétchène au cerveau nécrosé par l’islamisme radical.

L’islamisme radical, une idéologie totalitaire, obscurantiste et sanguinaire qui entend interdire par la terreur toute critique d’une religion, l’islam, qu’elle ne cesse elle-même de dévoyer 

Le président Emmanuel Macron a cette fois décidé de sévir. Plus d’effets d’annonces, la police et les services de renseignement vont taper dans le réseau d’associations islamises.

Visée, notamment, BarakaCity.

Installée à Courcouronnes (région parisienne), cette ONG prétend mettre « L’islam, au service de l’humanitaire »,

Populaire dans les quartiers, ultraprésente sur les réseaux sociaux, BarakaCity mobilise les musulmans sur des causes communautaires. En Birmanie pour les Rohingyas, ces musulmans persécutés par les extrémistes bouddhistes, en Irak, en Syrie, à Gaza... 

Aujourd’hui, elle est nommément dans le viseur du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin.

BarakaCity n’est pas inconnue au Togo.

En 2013, cette ‘association’ avait affirmé avoir récolté plus d’un million d’euros en pour la construction de 48 puits dans 35 villages du pays.

Les bénéficiaires étaient en priorité les populations musulmanes.

Difficile de connaître l’origine des fonds, la façon dont l’argent a été utilisé et la finalité de toutes ces opérations. 

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