Tourisme

Les hôtels sont à la peine, mais ils s'en sortent

L'hôtel du 2 février à Lomé

Depuis un an, l’industrie hôtelière est mise à rude épreuve par la crise sanitaire.

L’aéroport de Lomé a été fermé plusieurs mois en 2020 et le nombre de visiteurs est resté largement en deçà de ce qu’il était en 2019 et début 2020.

Hommes d’affaires, délégations étrangères et représentants d’organisations internationales voyagent moins.

Les grands hôtels de la capitale n’ont jamais fermé. Ils sont parvenus à s’adapter au mieux dans des conditions inédites et particulièrement compliquées.

‘Certes, nous avons perdu notre clientèle étrangère mais on arrive à s'en sortir avec des clients locaux’, explique Elinam Gagnon Aidam, responsable commercial de l'hôtel Sarakawa.

L’hôtel du 2 février et l’Onomo ont baissé leurs tarifs et proposent des promos.

Il n’empêche. Cette situation, si elle perdurait, pourrait mettre en péril ces établissements.

Un retour à la normale ne peut être envisagée avant la fin de cette année une fois que la campagne de vaccination aura couvert une grande partie de la population à travers le monde.

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