Eco & Finance

Le CFMI fait preuve de souplesse

Adaptation rapide aux besoins du marché

Le développement industriel a besoin d'une main d’œuvre qualifiée et les pouvoirs publics ont l’intention de s’appuyer sur les compétences du Centre de formation aux métiers de l’industrie (CFMI). C’est ce qu’a indiqué mercredi Taïrou Bagbiègue, le ministre de l’Enseignement technique, de la Formation et de l’Insertion professionnelle.

Implanté à Lomé depuis 2015, le CFMI est le fruit de la coopération avec la France, via l’Agence française de développement (AFD).

Il propose des formations sur mesure aux entreprises, aux salariés et aux demandeurs d’emplois et une formation initiale qualifiante avec la délivrance d’un diplôme d’Etat (BT) aux jeunes qui désirent apprendre un métier. 

Son originalité repose sur sa souplesse et sur sa capacité à s’adapter au marché de l’emploi. D’ailleurs, le taux d’insertion dépasse les 77%.

Depuis sa création, plusieurs centaines de jeunes ont bénéficié de formation en mécanique diésel, mécanique d’entretien, électromécanique, chaudronnerie-soudure, froid-climatisation. Des secteurs qui recrutent.

Et les champs de formation vont s’élargir.

Deux millions d’euros seront accordés dans les 3 prochaines années par l’AFD auxquels il faut ajouter 1,3 milliard de Fcfa venant de l'Etat.

Le Plan national de développement (PND) ambitionne de créer un secteur industriel digne de ce nom. Le CFMI aura un rôle stratégique à jouer.

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