Les efforts engagés pour protéger le littoral togolais s’intensifient grâce au Projet d’investissement de résilience des zones côtières en Afrique de l’Ouest (WACA ResIP-Togo), financé à hauteur de 64 millions de dollars par la Banque mondiale.
Les efforts engagés pour protéger le littoral togolais s’intensifient grâce au Projet d’investissement de résilience des zones côtières en Afrique de l’Ouest (WACA ResIP-Togo), financé à hauteur de 64 millions de dollars par la Banque mondiale.
Une mission d’évaluation de l’institution financière, achevée mercredi à Lomé, révèle un taux d’exécution de 82 % et un taux d’absorption financière de 86,11 % à un an de la clôture du projet. Le chef de mission, Koffi Houkpé, a salué les avancées et appelé à accélérer les travaux restants.
Aujourd’hui, 60 % du littoral est protégé, contre 44 % en 2020, grâce à la construction de 18 km d’ouvrages : digues, enrochements et épis. Ces infrastructures freinent la progression de la mer, stabilisent les plages et favorisent également le tourisme côtier, l’aménagement portuaire et la préservation de la biodiversité.
La seconde phase du chantier concerne désormais le segment Gbodjomé–Agbodrafo–Goumoukopé (7 km). L’entreprise néerlandaise Boskalis doit y ériger 22 nouveaux épis d’ici 2026, ainsi que procéder au rechargement de plages et au comblement partiel du bras lagunaire d’Aného.
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