
Dans un contexte de transformation digitale, le Tchad ambitionne de moderniser son administration publique en misant sur la montée en compétences de ses cadres.
Dans un contexte de transformation digitale, le Tchad ambitionne de moderniser son administration publique en misant sur la montée en compétences de ses cadres.
L’objectif : offrir des services plus efficaces et accessibles aux citoyens. Selon L’Economiste paru jeudi, N’Djamena a choisi de s’appuyer sur le Burkina Faso pour former ses fonctionnaires dans le domaine du numérique.
Un partenariat qui peut surprendre.
Alors que des pays comme le Sénégal, la Côte d’Ivoire ou le Nigeria sont aujourd’hui reconnus comme des pôles de référence en matière de gouvernance numérique, de cybersécurité et de dématérialisation des services publics, le choix du Burkina Faso semble à contre-courant des dynamiques régionales.
Le Burkina Faso, bien qu’engagé lui aussi dans sa propre transition numérique, ne figure pas parmi les États les plus avancés du continent en matière de services publics digitalisés ou d'expertise technologique.
Ce choix interroge donc sur les critères retenus par les autorités tchadiennes : proximité géographique, affinités politiques, coûts moindres ? Ou simplement un manque d’évaluation stratégique des meilleures options disponibles ?
L'Economiste N°654.pdf
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