
Alors que la mécanisation de l’agriculture reste un objectif stratégique pour de nombreux pays africains, la culture attelée continue de s’imposer comme une solution économique et adaptée pour les petits exploitants, notamment dans les zones rurales.
Alors que la mécanisation de l’agriculture reste un objectif stratégique pour de nombreux pays africains, la culture attelée continue de s’imposer comme une solution économique et adaptée pour les petits exploitants, notamment dans les zones rurales.
C’est ce que révèle le journal Dounia, dans son édition parue ce mercredi.
Pour de nombreux agriculteurs, l’achat ou la location de tracteurs reste hors de portée. Entre les coûts d’acquisition, d’entretien, de carburant et la dépendance à des pièces de rechange souvent importées, le recours à la traction animale apparaît plus accessible, plus autonome, et mieux maîtrisé localement.
« Un bœuf ou un âne, on peut l’élever, le soigner avec ce qu’on a. Un tracteur, quand il tombe en panne, on est bloqués pour des semaines », témoigne un cultivateur de la région des Plateaux.
Contrairement aux idées reçues, la culture attelée permet des rendements satisfaisants, notamment dans les sols où l’utilisation de machines lourdes pourrait entraîner une dégradation.
Elle est également moins énergivore et plus écologique, ce qui en fait un atout dans les stratégies d’agriculture durable.
Dounia N°832.pdf
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