Olivier Amah-Poko, un activiste à la tête d’une improbable Associationdes victimes de la torture (ASVITO) a été placé lundi sous mandat de dépôt pour avoir appelé l’armée à la désobéissance.
Aussitôt, ses amis du collectif d’opposants ‘Sauvons le Togo’ (CST) ont exigé sa libération.
Olivier Amah avait été un temps directeur du Service de Recherche et d’Investigation (SRI) de la Gendarmerie avant de rejoindre les rangs de l’opposition radicale, vexé de n’avoir pu obtenir la promotion souhaitée.