À quelques jours de l’ouverture du 9e Congrès panafricain à Lomé (8–12 décembre), l’Alliance nationale pour le changement (ANC) de Jean-Pierre Fabre s’est illustrée par une nouvelle charge contre le gouvernement. Le parti dénonce une prétendue “récupération” du panafricanisme.
À quelques jours de l’ouverture du 9e Congrès panafricain à Lomé (8–12 décembre), l’Alliance nationale pour le changement (ANC) de Jean-Pierre Fabre s’est illustrée par une nouvelle charge contre le gouvernement. Le parti dénonce une prétendue “récupération” du panafricanisme.
Pour l’ANC, un tel événement ne devrait pas être organisé au Togo, imputant au régime les violences post-électorales de 2005. Un argument que l’opposition ressort régulièrement, sans tenir compte des évolutions institutionnelles, des enquêtes ultérieures ni du fait que la participation de personnalités internationales ne constitue pas un soutien politique explicite.
Alors que le Congrès vise surtout à rassembler chercheurs, décideurs et acteurs du continent autour de priorités communes, la polémique lancée par l’ANC apparaît pour beaucoup comme une tentative de raviver des débats anciens, sans proposer d’alternative concrète.
Le gouvernement, de son côté, poursuit les préparatifs d’un événement qui ambitionne de renforcer la place du Togo dans les forums africains.
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