
Devant le Conseil de sécurité jeudi, Leonardo Santos Simão, chef du Bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (UNOWAS), a alerté sur une escalade du terrorisme dans la région, marquée par des attaques plus sophistiquées, l’usage accru de drones, de communications cryptées, et la collusion avec le crime organisé transnational.
Devant le Conseil de sécurité jeudi, Leonardo Santos Simão, chef du Bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (UNOWAS), a alerté sur une escalade du terrorisme dans la région, marquée par des attaques plus sophistiquées, l’usage accru de drones, de communications cryptées, et la collusion avec le crime organisé transnational.
Cette insécurité galopante aggrave une situation humanitaire déjà critique.
Il a également souligné que la sécurité maritime demeure préoccupante et que les jeunes sont de plus en plus ciblés par les groupes extrémistes. À ce jour, seulement 14 % des fonds nécessaires pour le Plan d’aide humanitaire 2025 pour le Sahel ont été mobilisés.
Les représentants du Conseil de sécurité, de la Cédéao, et des pays comme le Panama et la Sierra Leone, ont condamné fermement le terrorisme, les attaques contre les civils, les écoles et les hôpitaux, tout en pointant l’impact aggravant des tensions ethniques, du changement climatique, et de l’insécurité alimentaire dans la région du Sahel.
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