Ne voit la lumière que celui qui est éclairé
L’Etat a dépensé une petite fortune pour équiper les artères de la capitale en éclairage public.
L’Etat a dépensé une petite fortune pour équiper les artères de la capitale en éclairage public.
Rien que dans la commune du Golfe 1, près de 100 lampadaires sont hors d’usage, détruits à la suite d’une collision ou disparus mystérieusement.
Idem sur le grand contournement de Lomé, une voie rapide qui permet d’éviter le trafic en centre ville.
Il y a également le vol de câbles et d’ampoules LED. Cette situation constitue un danger pour les automobilistes, les piétons et crée un climat d’insécurité à la tombée de la nuit.
Pour ce qui est des destructions causées lors d’un accident, c’est aux compagnies d’assurances de payer l'addition, estime la Division de la sécurité routière (DSR).
Mais le problème est que de nombreux automobilistes ne sont pas assurés. Alors qui faire payer ?
Les communes en appellent au concours financier de l’Etat pour effectuer les réparations.