Cédéao

Libre circulation : un jour peut-être

Les entraves sont encore très nombreuses

Théoriquement, la libre circulation des biens et des personnes dans la zone Cédéao est une réalité. Dans la pratique, c’est une autre paire de manches.

Les tracasseries administratives sont encore très nombreuses. Les ressortissants des 15 pays membres s’en plaignent tous les jours.

La Commission de la Cédéao tente de faire appliquer les textes communautaires; pas évident.

L’organisation ouest-africaine lancera dans les prochains jours une campagne de communication aux postes-frontières de Sanvee-Condji (Togo-Bénin) et de Kodjoviakopé (Togp-Ghana).

L’objectif sera d’informer les populations, la police, la gendarmerie et la douane sur l’utilité de la carte nationale d’identité biométrique de la Cécéao.

Ce document sécurisé et qui permet la traçabilité va contribuer à rendre plus fluide le passage des frontières, a indiqué mercredi Téi Koinzi, le Commissaire chargé du Commerce, des Douanes et de la Libre circulation de l’organisation.

Son utilisation doit mettre à la bureaucratie et aux obstacles dressés pour passer d’un pays à l’autre.

Téi Koinzi milite pour la fin des entraves à la libre circulation.

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