L’agriculture reste largement dominée par l’informel. On estime que 25.000 groupements de paysans sont actifs, mais à peine 20% sont immatriculés.
Cette spécificité ne permet pas accompagner les coopératives pour qu’elles deviennent des forces de production, souligne Oyetunde Djiwa, le chargé de programme au bureau de la FAO à Lomé.
L’organisation onusienne va mettre 10.000 euros sur la table - une somme modeste - pour aider certains groupements.
‘Nous avons identifié une centaine de coopératives avec lesquelles nous voulons mener des activités sur le terrain, mais elles ne sont pas immatriculées ni bien organisées avec un manque de connaissance réelle de leur rôle et responsabilité," regrette M. Djiwa.
Le projet est co-piloté avec le projet national de promotion de l'entrepreneuriat rural (PNPER).