Le ministre l’Education, Komlan Dodzi Kokorko, se dit toujours ouvert au dialogue, mais n’entend pas devenir l’otage des syndicats.
Ces derniers menacent de faire gréve dans les prochains jours.
Il vient de demander aux chefs d’établissement de signaler tous ceux qui cesseraient le travail ou qui tenteraient de perturber les cours.
‘Sans chercher à avoir des discussion avec le ministère de tutelle, ils ont choisi de répandre des tracts incitant leurs collègues à des grèves illégales’, a-t-il déploré.
L’attitude de certains syndicats peut surprendre. Un cadre de dialogue permanent existe. Or ils semblent privilégier la confrontation.
Les enseignants contestataires exigent l’adoption du statut particulier - déjà acté - et la libération de certains syndicalistes interpellés récemment.