Faits divers

Conflit foncier : le bilan s'est alourdi

Une violence inacceptable

Un contentieux opposant les communautés Gangan et Tchokossi au nord du Togo a viré au drame la semaine dernière.

Le litige foncier très ancien a fait finalement 4 victimes, une vingtaine de blessés plus ou moins sérieux et a causé la destruction de 50 maisons. Un chef de village est en outre porté disparu.

Une délégation gouvernementale vient de se rendre sur les lieux. Elle comprenait le ministre de la Sécurité, Damehame Yark et sa collègue de l’Action sociale, Léa Tchabinandji Kolani-Yentcharé.

‘Ce qui s'est passé, ce n'est pas normal, c'est de la folie. On n'a pas besoin de ça dans notre pays’, a martelé M. Yark.

Plus de 2000 personnes ont fui après les violences pour se mettre à l’abri.

La gendarmerie chargée de l’enquête doit identifier les responsables de ces violences.

Les deux communautés se disputent l’exploitation de champs. 

Dans une décision temporaire, la justice avait décidé d’autoriser les deux camps rivaux à se partager les terres. Mais la cohabitation a mal tourné.

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