Elle est loin l’époque ou Gilchrist Olympio mobilisait les foules, écrit dimanche Jeune Afrique.
L’opposant historique togolais se fait de plus en plus discret. Il laisse à son entourage le soin de gérer l’UFC. Le parti dispose de députés, mais n’aura pas de candidat à la présidentielle.
Il donnera des consignes de vote le moment venu.