Politique

'Révolution' avortée

Tchikpi Atchadam

Une partie de l’opposition veut marquer ce lundi le deuxième anniversaire de sa ‘révolution’ dont l’objectif était de faire tomber le pouvoir.

Ca n’a pas marché comme c’était prévu. Le président de la République est toujours en fonction, l’Assemblée nationale a été renouvelée et une réforme constitutionnelle prévoyant une limitation du mandat présidentiel a été adoptée.

La plupart des opposants ont reconnu l’échec de leur stratégie sauf un, Tchikpi Atchadam.

Sorti de nulle part en 2017, le chef du Parti national panafricain (PNP), affirme que Faure Gnassingbé ne peut pas faire de 4e mandat, même si la constitution le lui permet.

Mais Atchadam reconnaît en même temps la légitimité du prochain scrutin présidentiel : ‘La fin de mandat est une chance ou une opportunité de changer. L’année 2020 est l’année de la décision finale'.

Les autres leaders de l’opposition sont plus discrets. Après l’échec de leur ‘révolution’, ils se préparent à participer en rangs dispersés à la présidentielle.

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