Politique

Révolution dans un verre de Sodabi

Les opposants s'agitent pour faire parler d'eux

Tchikpi Atchadam, chef du PNP, un petit parti de l’opposition radicale, ne veut pas entendre parler d’une candidature de Faure Gnassingbé en 2020. 

‘L’exigence posée par le PNP est une condition révolutionnaire. Mais le problème est que la révolution ne se décrète pas à l'avance . Elle se prépare et lorsque le temps et les conditions le permettent, elle se déclenche’, lui a répondu vendredi Aimé Gogué, le président de l'Alliance démocratique pour le développement intégral (ADDI), également membre de l’opposition.

S’il n’est pas favorable à une 4e candidature du chef de l’Etat, il met en garde contre les slogans à la sauce ‘Faure must Go’ qui dans la réalité n’ont rien donné.

Selon les nouvelles dispositions constitutionnelles, le président sortant peut se représenter. Il est resté muet sur le sujet. Certains de ses lieutenants sont plus prolixes.

C’est le parti au pouvoir, UNIR, qui désignera son candidat à la présidentielle lors d’un congrès dont la date n’a pas encore été fixée.

L’élection aura lieu au premier semestre de l’année prochaine. Il reste encore du temps.

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