Social

Les zémidjans souhaitent une meilleure indemnisation

Un taxi-moto et sa passagère dans les rues de Lomé

Depuis le 11 avril, les taxis-motos n’ont théoriquement plus le droit de travailler; une mesure destinée à freiner la pandémie de coronavirus.

Ils poursuivent pourtant leur activité.

Le gouvernement a mis en place des mesures d’accompagnement à travers les transferts monétaires. Chaque conducteur devait recevoir une indemnisation de 20.000 Fcfa par mois. Proposition rejetée par les intéressés. Ils veulent davantage.

Les discussions se poursuivent entre les responsables des zémidjans et l'Agence nationale d'appui au développement à la base (ANADED), chargée de mettre en oeuvre les transferts monétaires.

Les deux parties manifestent une certaine ouverture pour parvenir rapidement à un accord.

Rien que pour Lomé, 60.000 zémidjans opèrent chaque jour. Ils sont beaucoup utilisés en raison de l’absence d’un réseau de transport public.

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