
La scène littéraire togolaise s’enrichit de deux nouveaux ouvrages de la romancière Jedidah Kodzovi-Defor, connue sous le nom de plume Solim K.D.
La scène littéraire togolaise s’enrichit de deux nouveaux ouvrages de la romancière Jedidah Kodzovi-Defor, connue sous le nom de plume Solim K.D.
L’auteure a présenté samedi à l’Institut français de Lomé ses deux derniers romans : Nadira et Nous, pour le pire et le meilleur, portant ainsi à neuf le nombre de ses publications.
Dans Nadira, Solim K.D plonge ses lecteurs dans un univers profondément ancré dans l’histoire africaine.
Loin des clichés, elle propose une immersion dans un royaume d’Afrique noire, 950 ans avant notre ère. À travers le destin douloureux d’une orpheline vendue par sa belle-mère, l’autrice explore les tensions entre traditions, amour, pouvoir et survie.
Le deuxième livre, Nous, pour le pire et le meilleur, aborde une tragédie contemporaine. L’histoire suit Gracia, une femme brisée par la mort atroce de son mari, lynché par une foule. À travers ce récit poignant, Solim K.D met en lumière les ravages souvent invisibles de la vindicte populaire.
Avec une écriture à la fois fluide et percutante, Solim K.D s’impose comme une voix littéraire puissante, qui mêle récit historique, engagement social et exploration des émotions humaines les plus profondes.
Ces deux nouvelles publications confirment son talent à construire des histoires où se croisent destin individuel et mémoire collective.
Les deux romans sont disponibles dans les bonnes librairies.
Pour que ce site Web fonctionne correctement et pour améliorer votre expérience d'utilisateur, nous utilisons des cookies. Retrouvez plus d'informations dans notre Gestion des cookies.
Les cookies nécessaires activent les fonctionnalités de base. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies et ne peut être désactivé qu'en modifiant les préférences de votre navigateur.