Interpellé mardi à proximité du campus de l’université de Lomé, Adou Sébou (photo), à la tête d’une organisation estudiantine, le Mouvement pour l’épanouissement de l’étudiant togolais (MEET), a été libéré au bout de quelques heures.
La police lui reprochait d’avoir voulu organiser une assemblée générale dans l’enceinte de la faculté fermée administrativement depuis quelques jours.
Le Togo a connu ces dernières semaines une agitation dans les rangs des étudiants qui protestent contre certaines dispositions contenues dans le nouveau régime d’octroi des bourses.