
Une étude récente vient de mettre en lumière une situation préoccupante concernant la sécurité alimentaire au Togo.
Une étude récente vient de mettre en lumière une situation préoccupante concernant la sécurité alimentaire au Togo.
Près d’un tiers des fruits et légumes analysés sur les marchés locaux présentent des niveaux de résidus de pesticides supérieurs aux normes internationales, selon les conclusions du rapport consulté par Eco & Finances.
Plus grave encore, certains échantillons contiennent des substances formellement interdites à l’usage agricole.
Les chercheurs ayant mené cette étude ont procédé à des analyses sur un large éventail de produits — notamment des tomates, laitues, aubergines, carottes et mangues — collectés sur plusieurs marchés à Lomé, Kara et Sokodé.
Les résultats sont sans appel : près de 33 % des échantillons contiennent des traces de pesticides au-delà des limites maximales de résidus (LMR) fixées par la FAO et l’OMS.
Certains produits, particulièrement issus de petites exploitations maraîchères, renferment des molécules interdites depuis plusieurs années, comme le DDT ou certains organophosphorés à forte toxicité.
Eco & Finances N°1256.pdf
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