
Plus de cinquante jours après la prestation de serment du président du Conseil, la composition du nouveau gouvernement de la Cinquième République se fait toujours attendre.
Plus de cinquante jours après la prestation de serment du président du Conseil, la composition du nouveau gouvernement de la Cinquième République se fait toujours attendre.
Une situation qui alimente les spéculations et les inquiétudes dans l’opinion publique, certains évoquant un possible blocage institutionnel.
Ce lundi, l’Union pour la République (UNIR), parti majoritaire, est montée au créneau pour apaiser les tensions. Sur les ondes d’une radio privée de Lomé, le député-maire et cadre du parti, Hessou Passiwè, a tenu à clarifier les choses : « Il n’y a aucun blocage », a-t-il affirmé d’emblée.
Selon lui, le contexte actuel – marqué par le passage à un régime parlementaire – exige une nouvelle approche de gouvernance, ce qui justifie le délai observé. « Il y aura une nouvelle forme de gouvernance. Il faut donc que le casting prenne en compte beaucoup de paramètres pour constituer une équipe capable de répondre aux grands défis du pays », a-t-il expliqué.
L’élu appelle la population à la patience et à la confiance : « Nous invitons à faire confiance au Président du Conseil. Nous restons confiants qu’un gouvernement sera très bientôt mis en place ».
En attendant la formation de cette première équipe gouvernementale sous le nouveau régime, le parti UNIR annonce qu’il reste pleinement mobilisé pour les prochaines élections municipales prévues le 17 juillet.
Pour que ce site Web fonctionne correctement et pour améliorer votre expérience d'utilisateur, nous utilisons des cookies. Retrouvez plus d'informations dans notre Gestion des cookies.
Les cookies nécessaires activent les fonctionnalités de base. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies et ne peut être désactivé qu'en modifiant les préférences de votre navigateur.