Le Togo, comme de nombreux pays côtiers africains, est de plus en plus exposé aux catastrophes naturelles, aggravées par le réchauffement climatique. Inondations, sécheresses, glissements de terrain, et surtout érosion côtière : les effets du dérèglement se font sentir, menaçant les communautés et les infrastructures.
La première aire marine protégée, située dans la commune des Lacs 3, à Agbodrafo (sud-Togo), devrait voir le jour prochainement.
Le Togo poursuit ses efforts pour renforcer sa gouvernance climatique. Une concertation nationale s’est ouverte mercredi, réunissant les acteurs de secteurs tels que l’environnement, l’agriculture, l’énergie et l’industrie.
Les autorités togolaises et béninoises tiennent depuis mardi à Lomé une concertation de trois jours autour du projet Initiative Régionale pour l’Eau et l’Environnement dans le Bassin du Mono (IREE-Mono).
Un plan d’aménagement de la forêt classée de Missahöhe, située dans la préfecture de Kloto, vient d’être validé avec l’appui du Mécanisme Forêt et Paysans (FFF) de la FAO et du Comité Local de Gestion (CLG).
Le ministère de l’Environnement et des Ressources forestières prépare la signature d’une convention avec la Banque de Développement du Mali (BDM), a-t-on appris à l’issue d’une rencontre entre le ministre Foli Bazi Katari et le nouveau directeur général de la BDM Togo.
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