Trente manifestants, dont quatre enfants, ont été tués et plus de 150 blessés lundi par les forces de l'ordre en Guinée, dont vingt-cinq dans la banlieue de Conakry, lors d'une grève générale illimitée, selon un nouveau bilan obtenu mardi de source hospitalière.
Depuis le début du mouvement le 10 janvier, 40 personnes ont trouvé la mort. La journée de lundi est de loin la plus meurtrière. Le précédent bilan faisait état de 23 morts.
Selon un responsable de l'hôpital Donka, l'un des principaux de la capitale Conakry, sept personnes, dont 4 enfants, sont décédées dans la nuit à la suite de blessures par balles lundi.
Mardi à 10h00 (locales et GMT), aucun incident n'avait été signalé à Conakry comme à l'intérieur du pays.
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